Un protocole pour les réseaux libres

[pt_br]Échanger des instruments pour que les nombreux réseaux sociaux en développement dans les activismes globaux, basés sur le software libre, se constituent comme une partie d’un ample réseau libre et diversifié, configuré par de multiples faces et par des identités collectives. Celui-ci est l’un des buts des rencontres du III Forum des médias libres, qui aura lieu à Porto Allègre du 27 au 28 janvier, à la Maison de Culture Mario Quintana.

Il y aura une participation enthousiaste de projets et de réseaux, tels que Lorea et N-1 , les indignés de l’Espagne, ou Global Square et #OccupyWallstreet , nés dans les occupations aux États-Unis. Il y aura aussi la participation d’expériences qui avancent au Brésil comme Nosfero, mise en oeuvre à travers de projets comme celui du Mouvement Software Libre et Fora do Eixo ou ceux qui gagnent des adeptes, comme Diaspora et la plate-forme Phyrtual, dont la construction est en charge du réseau jeune Viração et qui sera présenté par Evelyn Araype.

Outre les expériences, on va mettre au débat des idées, tel que l’informatique souveraine, qui permet de partager non seulement des archives, mais encore les aires de stockage, de mémoire et de traitement de données parmi les membres du réseau. Un exemple, signalé par Marco Konopacki, du réseau Soylocoporti, de Paraná, se voit développé au site Sneer. « C’est la communication P2P mise à l’extrême », affirme Thiago Skárnio, de Alquimidia.org, de Santa Catarina.

Peut-être va être vif aussi le débat des réseaux fédérés, défendu par Vicente Aguiar, du Colivre, de Bahia, parce qu’il permet à de nombreux réseaux sociaux de se constituer en un seul réseau, sans laisser d’être un parmi beaucoup d’autres ; ce sujet pourrait être alors l’un des buts du processus.

Il va être encore possible de discuter l’idée qui a débouchée dans une « confédération de ressources en réseau pour la démocratie », comme c’est le cas de la plate-forme Coredem, de laquelle participe François Soulard, de l’Argentine, qui participe aussi au FML.

Et il ne s’agit que d’une conversation qui ne fait que démarrer. Le III FML doit être le résultat d’un espace commun pour approfondir le dialogue avec les autres réseaux désireux de contribuer à la construction des protocoles qui réalimentent les autres réseaux. Ainsi, il est possible de générer des espaces et des connexions libres du contrôle du marketing, caractéristique des grands réseaux d’aujourd’hui, qui s’arrogent le pouvoir d’enlever de la Toile les pages collectives, en arguant des raisons politiques ou de toute autre nature.

L’horizon est celui d’arriver au II Forum mondial des médias libres – qui fera partie du Sommet des peuples à Rio + 20, au mois de juin, à Rio de Janeiro – en mesure de faire approuver un accord international, qui encourage à son tour d’autres accords avec des mouvements et des réseaux non nécessairement focalisés sur la communication et qui cherchent des alternatives sur l’Internet.

Le débat aura lieu aussi au sein du FST

La programmation d’activités autogérées du Forum social thématique sur la Crise capitaliste et justice environnementale envisage en plus des activités destinées à l’obtention de ressources pour ce protocole et même pour la communication propre du processus du Forum social mondial. L’une de ces activités aura lieu avant le III Forum mondial des médias libres, avec la participation des intéressés au débat sur « Principes pour un réseau social du / dans le FSM ». Le résultat visera tant à la Commission de communication du FSM quant au III FML, en qualité d’éléments de contribution.

. [es]Intercambiar elementos para que las muchas redes sociales en desarrollo en los activismos globales, basadas en software libre, se constituyan como parte de una gran red libre y diversa, configurada por muchas caras e identidades colectivas, es uno de los propósitos de los encuentros del III Fórum de Comunicación Libre, que se realizará en Porto Alegre, del 27 al 28 de enero, en la Casa de Cultura Mario Quintana.

Participarán entusiastas de proyectos y redes como Lorea y N-1, los indignados de España, o Global Square y #OccupyWallstreet nacidas de las ocupaciones en los Estados Unidos, y de experiencias que avanzan en Brasil como Nosfero, implementada en proyectos como el del Movimiento Software Libre y Fora do Eixo, o ganan seguidores en nuestro país, como Diáspora y la plataforma Phyrtual, en cuya construcción está involucrada la red joven brasileña, Viração, y será presentada por Evelyn Ararype.

Además de las experiencias, estarán en debate conceptos como el de computación soberana, que además de archivos permite compartir área de almacenamiento, memoria e procesamiento con miembros de la red. Un ejemplo, que señaló Marco Konopacki, de la red Soylocoporti, de Paraná, está implementado en la página web Sneer . “Es la comunicación P2P llevada al extremo”, según Thiago Skárnio, de Alquimídia.org, de Santa Catarina.

Probablemente sea fuerte también el debate de las redes federadas, defendido por Vicente Aguiar, de Colivre, de Bahia, por permitir que muchas redes sociales se constituyan en una sola, sin dejar de ser una entre muchas, que puede ser uno de los objetivos del proceso.

Asimismo, será posible debatir el concepto que llevó a una ” confederación de recursos en red por la democracia”, caso de la plataforma Coredem, en la cual participa Francois Soulard , de Argentina, participante del FML.

Y es sólo una conversación inicial. El III FML debe ser el resultado de un espacio común para profundizar el diálogo con las demás redes preocupadas en contribuir con protocolos que realimenten a todas. De esta forma, podrán generar espacios y conexiones libres de los controles mercadológicos, característicos de las grandes redes actuales, que detiene el poder de retirar páginas colectivas de internet, por motivación política o de cualquier naturaleza.

El horizonte es llegar al II Fórum Mundial de Comunicación Libre, que se realizará como parte de la Cúpula de los Pueblos en la Rio+20, en junio, en Río de Janeiro, en el que se podrán reunir las condiciones para que se apruebe un acuerdo internacional. Este posible acuerdo estimulará también otros con movimientos y redes no necesariamente enfocados en la comunicación y que buscan alternativas en internet.

Debate también tendrá lugar en el FST

La programación promovida por el Fórum Social Temático sobre Crisis Capitalista y Justicia Ambiental y Temática también incluye actividades que podrán generar ayudas para financiar ese protocolo y para la propia comunicación inherente al proceso del Fórum Social Mundial. Una de ellas se hará antes del III Fórum de Mundial de Comunicación Libre, proponiendo la participación de interesados/as en debatir “Principios para una red social del/en el FSM”. El resultado de esa actividad se encaminará tanto a la Comisión de Comunicación del FSM como al III FML, ambos como elementos de contribución.

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